Pull léger The North Face Futurefleece LT

One le dit pas assez, mais la première couche, celle qu’on porte à même la peau, est sans doute la plus importante. C’est celle qui va au choix, vous garder à peu près au sec à l’exception de votre dos (sauf si par le plus grand des hasards vous n’avez pas de sac-à-dos), ou mouillé comme un jour de pêche à la crevette à Berck-sur-Mer.

Chez The North Face, on a gardé la matière polyester pour fabriquer la première couche la plus respirante, et si possible chaude, qui soit. Ce n’est pas un modèle épais, vous pourrez sans doute ne garder que cette couche en grimpant au mois d’avril, mais si fine soit-elle, sa technologie Futurefleece, est faite de sortes d’alvéoles sur l’intérieur pour conserver une couche d’air supplémentaire (et d’isolant). Bon, à moins de plier la Dibona sans sac à dos (comme un certain Benjamin Védrines en solo), votre dos finira par être mouillé.. mais pas le reste. 

On aime les poignets élastiqués, et l’option repose-pouces. Si vous n’aimez pas ces derniers, coupez-les. On trouve que pour quelques grammes, ces passants sont très utiles en montagne. Enfin, ce pull léger est doté d’un grand « demi-zip », parfait pour la montée à fond les ballons en ski de rando ou l’été en altitude.

CONCLUSION

Il est difficile de consacrer une part élevée de budget à une première couche, et pourtant c’est celle qui va le plus jouer dans l’évacuation de la transpiration, et dans une moindre mesure, à l’apport de chaleur et au confort qu’on ressent en montagne ou en randonnée. Cette Futurefleece conviendra aux randonneurs exigeants à la recherche d’un meilleur compromis, entre rapidité de séchage et matière polyester.