Lorsque, le 16 janvier dernier, 10 Népalais atteignaient ensemble le sommet du K2, certains ont déclaré que c’était la fin d’une époque : la dernière page du livre d’histoire de l’himalayisme hivernal semblait écrite. Un an plus tard, nous constatons que ce n’est pas vraiment le cas : l’himalayisme hivernal est en plein essor, avec au moins quatre tentatives en cours sur l’Everest, le Nanga Parbat, le Manaslu et le Cho Oyu. Pourquoi cette affluence ?
Actuellement, des grimpeurs luttent contre le froid glacial sur le Nanga Parbat, l’Everest et le Manaslu ; Gelje Sherpa (le plus jeune des 10 Népalais au K2 en hiver, NDLR) prépare une équipe entièrement népalaise pour ouvrir une nouvelle voie sur le Cho Oyu, et une équipe commerciale est (encore) attendue sur le K2.
En outre, nous avons vu certains alpinistes de haut niveau s’illustrer sur des sommets de moindre altitude,
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