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Vivian Bruchez : les Alpes plus que jamais

©Ulysse Lefebvre

Le Monsieur ski de pente raide français a passé une année un peu plus calme que les autres. Non pas qu’il n’ait pas skié, loin de là, mais la préparation de son expédition au Dhaulagiri (8167m, Népal) lui a pris du temps et de l’énergie en préparation… puis lui a couté beaucoup une fois revenu.

Parti avec Mathéo Jacquemoud, Mathieu Maynadier et Mickael Arnold, Vivian n’hésite pas à parler de « mauvaise expédition« , parce que les conditions météo n’ont pas été favorables certes, mais surtout parce que les objectifs et la manière de les atteindre n’étaient pas forcément les bons,  entre tentative de première à ski et vélléités d’ascension rapide. L’expérience, la capacité à analyser et à prendre du recul de Vivian donnent un poids singulier à ses mots. Ne nous expliquait-il pas combien il est important de savoir renoncer il y a quelques temps ?  Depuis, Vivian a digéré cette expé et on le revoit sur les skis, reparti comme chaque hiver dans des pentes plus raides les unes que les autres. Le 6 janvier dernier, il signe d’ailleurs une probable ouverture dans les contreforts de Flèche Rousse, à l’Aiguille d’Argentière, dans une descente depuis la « brèche 3725m ». Avec toujours ce même enthousiasme communicatif. 

 

SON TOP 2022

Une année qui se termine par une réflexion sur l’échec

 

À SUIVRE EN 2023

Vivian revient sur les skis dans les Alpes pour dégoter de nouvelles lignes dans son jardin du Mont-Blanc

Naissance : 1987
Pays : France