En montagne, les chiens de protection de troupeau font parfois peur aux randonneurs, mais ils sont la réponse des éleveurs à la présence du loup. Une présence canine qui a fait ses preuves. Afin de mieux comprendre le travail de ces chiens, et le point de vue des alpagistes, nous sommes allés à la rencontre d’Hélène, bergère en Oisans, qui conduit un troupeau de 800 moutons, et d’Yves, éleveur savoyard de chèvres laitières depuis une quarantaine d’années dans les Bauges. Reportage.
L’hiver la bergerie d’Yves se trouve au hameau le Tertenoz, sur les hauteurs de Faverges, là où nous l’avons rencontré. L’été, pendant près de cinq mois, il est sur l’alpage au-dessus de l’abbaye de Tamié, alpage qui court de 1400 à 2200 m. d’altitude, dans le massif des Bauges.
Yves Lachenal est producteur de tomme de chèvre. Il est aussi référent du réseau Chiens de protection de l’Institut
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