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En sursis, la Maison de la montagne de Grenoble doit évoluer

La Maison de la montagne de Grenoble, rue de la République en plein centre-ville ©Manu Rivaud

La loi NOTRe de redistribution des compétences territoriales l’oblige, la Maison de la montagne de Grenoble ne va plus pouvoir remplir son rôle de bureau d’informations touristiques auprès de ses visiteurs, touristes et habitants du bassin grenoblois. La ville de Grenoble est déterminée et les personnels travaillent à l’élaboration de nouvelles missions pour ce lieu incontournable du centre-ville de la capitale des Alpes françaises.

À Grenoble dite capitale des Alpes françaises, la Maison de la montagne créée en 2002 sous l’impulsion du maire d’alors Michel Destot doit franchir une nouvelle étape : celle de ne plus émettre d’informations touristiques auprès de ses visiteurs, touristes notamment mais aussi Grenobloises et Grenoblois, ou plus largement les habitants de l’agglomération.

Or effectivement, la Maison de la montagne est, était jusqu’à maintenant, principalement deux choses : un lieu où l’on peut emprunter des topos – randonnées, alpinisme, ski de rando… – du monde entier, et un bureau d’informations touristiques au sens large concernant les massifs de proximité – Belledonne, Chartreuse, Vercors, Oisans Écrins – avec notamment la présence en son sein du bureau des guides et accompagnateurs en montagne de Grenoble. Un lieu où le personnel d’accueil était aussi apte à renseigner sur les possibilités d’accès aux sites, parfois interdits temporairement par arrêtés.

Grenoble et son agglomération, au pied des massifs de Chartreuse, Belledonne et Vercors avec un peu plus loin, l’Oisans. ©Manu Rivaud

« Au bout de chaque rue… » ©MR

L’Isère et Belledonne, depuis la Porte de France ©MR

Il n’a jamais