Ce n’est pas grand-chose un décoinceur. Presque rien.
Ça doit faire dans les cinquante grammes, vingt centimètres avec une tête de girafe. Ça sert assez peu. Souvent, on oublie qu’on l’a ; on peut jusqu’à oublier l’avoir oublié.
Mais un jour, la montagne décide de passer un peu de temps avec vous ; elle vous félicite d’avoir placé votre coinceur avec zèle au point d’être irrécupérable. Vous vous échinez, vous secouez le massif entier, vous consacrez un lot de crampes et de jurons à tenter de r...
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