Petite histoire et grandes gueules du dry tooling

Dry tooling in the most famous dry spot in the Alpes called l'Usine (Route : Super Sat, M10+). Dry tooling dans le site reconnu de l'Usine, en Chartreuse.

Le dry tooling ne date pas d’hier. Les coincements de lame en fissure et autres grattonnages de crampons sont le lot quotidien des ascensions mixtes en montagne. Il y a même longtemps maintenant que les dragonnes ont disparu et les sites de dry dédiés, équipés et aseptisés permettent à de plus en plus de pratiquants de travailler des mouvements extrêmes en toute sécurité. Mais ses adeptes ne sont pas des gymnastes à gros bras qui tournent en rond en vallée. Ce sont souvent des alpinistes à la recherche d’entraînement mais aussi de plaisir, avec, toujours, des courses en montagne dans la ligne de mire. Petite histoire des piolets sur le rocher.

Blocage de bras sur micro-prise, cinq ou six millimètres de lame en appui avant mouvement dynamique, presque jeté sur prise inversée, gainage maximum dans le devers. Raté. Vol et chute d’un piolet à l’arrière du peloton. Rien que