Dans tous les paradoxes du monde, il se cache une part de vérité et une autre de beauté.
C’est le cas en littérature où l’oxymore, mot pourtant presque laid, magnifie l’écriture depuis que l’on écrit. Des splendeurs invisibles aux délices insensibles, Rimbaud en faisait son affaire.
C’est vrai, aussi, en montagne. Nous ne sommes qu’à demi surpris, la montagne a toujours été ce haut lieu de rencontre des contraires : chérir la vie mais accepter de la perdre, prier le soleil puis le fuir, ...
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