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Apik développe une balise pour être retrouvé partout en montagne

La société savoyarde API-K s’apprête à commercialiser un boitier permettant d’être localisable par les secours, même sans aucun réseau. Explications avec les ingénieurs et retour d’expérience avec les secouristes du PGHM.

Des secouristes de la CRS Alpes s’activent avec une tablette bardée de deux antennes, dans la station iséroise du Collet d’Allevard. De la neige fraîche vient de tomber début février, mais nulle avalanche en vue. Il s’agit d’un exercice pour tester des balises de géolocalisation qui se veulent révolutionnaires. Elles font la taille d’un smartphone, pèsent 90 grammes et possèdent un bouton central pour envoyer un SOS. Des capteurs (accéléromètre et de baromètre) peuvent même émettre un signal automatique de détresse à un proche s’ils détectent une chute. L’autonomie est de 3 jours en moyenne. Ce boitier est conçu au bord du lac du Bourget par la société API-K, créée il y a deux ans. Mais en qu’est-ce que ce boitier a réellement dans le ventre ? Explication avec ses ingénieurs et retour d’expérience avec la cellule innovation du PGMH. Sans oublier notre test maison du produit.

Au premier plan, la balise KIP grand public, au second plan, une tablette qui sert de récepteur et de traitement des données ©Thomas Pueyo

L’outil de réception AKIP du PGHM ©Thomas Pueyo

Lors du test au Collet d’Allevard, Damien Dupont (en rouge), directeur des opération chez api-k et sécouriste pro par ailleurs, avec le brigadier Jean-Baptiste Bois (en bleu) des CRS
©Thomas Pueyo

Un réseau très longue portée

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