Saint-Loup, la montagne côté obscur

Dans ma bibliothèque, sur l’étagère dédiée à la mythique collection Sempervivum de chez Arthaud. Pierre Allain, Giusto Gervasutti, Samivel, et Gaston Rébuffat voisinent avec un certain Saint-Loup : La montagne n’a pas voulu, 1949 et  Monts Pacifiques, 1951. Cet auteur a signé d’autres livres comme Face Nord , toujours chez Arthaud, son premier succès en 1946, mais aussi Solstice en Laponie aux éditions du Contadour en 1938 ; La nuit commence au Cap Horn, chez Plon en 1952, ou encore Montagne sans dieu, La République du Mont-Blanc. Saint-Loup, un écrivain de montagne à l’époque des knickers et des chemises en carreau ? Pas seulement.

Son nom déjà. Saint-Loup ? Trop beau pour être vrai. Un nom de plume inspiré par Loup de Troyes, un évêque canonisé qui n’hésita pas à arrêter Attila et sa horde de barbares aux portes de la ville en les