Les grimpeurs font leur retour aux falaises, mais des propriétaires de sites sont toujours condamnables en cas d’accident, suite à l’abandon par la FFME, au printemps dernier, de conventions signées avec eux. Retoquée par le Conseil constitutionnel fin 2020, une avancée législative qui redonnait une part au risque assumé par les pratiquants est suspendue. Cette avancée aurait un chemin, mais si notre analyste Gilles Rotillon revient ici sur la nécessité de légiférer les responsabilités en cas d’accident , il s’inquiète d’une société qui monétise et juge le risque inhérent à la pratique.
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