Elle se fait connaître au 19ème siècle car c’est l’une des rares femmes à avoir atteint le sommet du mont Blanc, toit de l’Europe. C’était en 1838 et c’était plus exactement la deuxième femme à réaliser cet exploit. Henriette d’Angeville en est fière et elle rendra compte de ses impressions d’ascension dans un album intéressant, illustré, détaillé et devenu objet historique.
« Et moi aussi, je monterai là-haut ! Je suis la fiancée du mont Blanc », disait-elle à l’époque. Cette grande mélomane a cumulé les passions et vécu une vie romanesque qui méritait de faire l’objet d’une biographie. C’est chose faite grâce aux Éditions du Mont-Blanc, sous la plume de l’historien Marc Forestier.
« Henriette n’était pas seulement alpiniste. Elle était botaniste, mélomane, curieuse de tout, intrépide et décidée à vivre selon ses choix, dans une époque où la liberté d’une femme ne se décidait pas en altitude,
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