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LUC MARESCOT, IL ÉTAIT UNE FOI

Luc Marescot dans son élément.

©Coll. Marescot

Un film l’obsède depuis des années. C’est même son combat, lui qui a dédié sa vie à filmer partout dans le monde, de préférence dans les endroits les plus sauvages, les explorateurs et les scientifiques les plus curieux.

Luc Marescot est une pointure dans le milieu du film documentaire d’aventures. À son actif : plus de 80 documentaires réalisés pour la télévision, dont 12 sur les forêts tropicales au contact de Raoni, des pygmées, des papous et de nombreuses tribus indiennes. Il a également été le réalisateur attitré de nombreux films d’expédition, comme avec Théodore Monod, Jean-Louis Etienne ou encore Nicolas Hulot. Autant de documentaires primés et unanimement salués par la critique et le grand public, dont récemment « 700 requins dans la nuit » avec le plongeur Laurent Ballesta ou « Frères des arbres, l’appel d’un chef papou » avec le charismatique Mundiya Kepanga.

Des succès qui n’aveuglent pas l’intéressé aimant d’abord à rappeler les ferments de sa vocation : « Mon goût prononcé pour les voyages, les autres et les découvertes m’est venu de mon père, qui était l’un des pilotes d’hélicoptère de Paul-Émile-Victor aux Expéditions Polaires Françaises », avant de tout suite embrayer sur son dernier projet au long cours, « peut-être le plus personnel » : « Dans la forêt du cinéma » devenu « Poumon vert et Tapis Rouge »

Parce qu’il n’y a pas le choix.
Tous ces arbres, ce sont ceux qui nous font respirer, qui maintiennent la vie sur