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On skie sur la tête

Au 26 février – sans vraiment forcer ni voyager – j’ai déjà vu, de mes yeux vu :

  • La possibilité d’un baptême de dameuse et pour les plus mordus de la chenillette, le bonheur de pouvoir y passer une nuit en amoureux. C’est dingue ce que certains ont de la chance car la probabilité de trouver une amoureuse, accroc aussi des dameuses est bigrement faible.
  • Un tapis roulant pour les skieurs (et skieuses) afin qu’ils puissent avaler tranquillement cent mètres de linéaire et vingt de dénivelée entre deux remontées mécaniques. Et l’on dit que les stations sont insensibles à la mobilité réduite…
  • Un monsieur qui pensait avoir reçu un SMS après qu’une buse variable a émis son petit cri de d’habitude juste au-dessus de sa tête. Rares sont les buses sur vibreur.
  • Des employés d’une station qui déneigeaient à la fraise un parcours de luge d’été afin que les touristes puissent faire de la luge l’hiver sans être gênés par la neige. Leur chef doit être bipolaire.
  • Un parcours gratuit de ski de randonnée accessible par un télésiège à 16 euros.
  • Une dame qui trouvait vraiment bizarre de skier sur de la vraie neige. Plutôt casse-gueule d’ailleurs. Ils pourraient prévenir.
  • Une patinoire extérieure en plastique et téflon fermée pour cause de gel.
  • Des queues et des tas de gens dans les remontées mécaniques. Au lieu de dire faire du ski, on devrait dire attendre du ski.
  • Des gens joyeux, debout sur les tables d’un bar d’altitude, apparemment malentendants, pantalon de