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Foutue erreur 404

Il est là ce vendredi 13 octobre 2017. Jour gravé dans les tablettes numériques. Une obsession dans ma tête en tous cas, qui arrive à la fois trop lentement (ouh là, que j’ai hâte !) et trop vite (encore tout ça à faire…).

Alors voilà, il est 4h04. Et dans la tête c’est plutôt « Erreur 404 ». Vous savez, ce message d’erreur qui plombe votre élan de surfeur du web en vous affichant une page blanche, parce que celle recherchée n’existe plus. Mes pages sont pourtant bien là, pas encore très nombreuses mais loin d’être blanches et fières de montrer de quel bois Alpine Mag va se chauffer. Dans quelques heures elles seront accessibles, lues, relues, commentées, critiquées, peut-être même likées. Et il reste tellement de choses à faire. Des grosses, des petites, des importantes, des très importantes. On essaie de ne rien laisser au hasard. Des textes à relire bien sûr, pour que les histoires qu’on vous raconte soient les plus intéressantes, les plus originales ou les plus curieuses possibles. Les plus belles aussi, avec tout ce qu’Internet offre comme possibilités. Tiens, souvenez-vous de ce vieux barbu, Victor Hugo je crois, qui disait que « la forme, c’est le fond qui remonte à la surface »…

Alors quelques heures avant le moment M de l’instant I où nous mettrons en ligne ce nouveau media dédié aux aventures en montagne, les paupières sont lourdes de virgules à ajouter par dizaines dans un article, de tailles de photos à ajuster dans l’autre, de titres et intros à retravailler. Bref, tout ce qui fait le sel de ce métier, dont la particularité est aussi de ne jamais vous laisser seul et d’être toujours bien accompagné. Des alpinistes, des journalistes, des traducteurs, des correcteurs, des développeurs – des conseillères d’orientation – des geeks de matos et autres personnages aussi compétents que passionnés. Que la bière vous inonde de bonheur, pour avoir cru en Alpine Mag avant même de le voir, et avoir aidé ensuite par vos expertises diverses et Ô combien indispensables ! Ce média n’en est qu’à ses balbutiements mais c’est déjà un gros travail d’équipe. Et même s’il est tard et que les yeux se ferment, il est bon de prendre encore le temps de fignoler tout ça, pour qu’Alpine Mag vous montre d’emblée de quoi il est capable. Et puis au passage, tiens, cet édito pour renouer avec la tradition du petit texte régulier qui nous rapproche.
Tiens 5h05.

Que la bière vous inonde de bonheur, pour avoir cru en Alpine Mag avant même de le voir !